Ces sphères à l’allure extraterrestre abritent des puits de captage de biogaz. D’abord une carrière de calcaire, puis un site d’enfouissement, le parc Frédéric-Back cache plus de 40 tonnes de déchets qui génèrent encore des émanations. Ces puits permettent d’éviter que les biogaz ne s’échappent dans l’atmosphère. L’ambitieux projet de réhabilitation environnementale se terminera en 2025.